ATTENTION SUITE A LA PRATIQUE DE L'EXTRACTION DU MIEL AU PRESSOIR LA PRODUCTION  EST TRES FAIBLE

La reproduction se fait par division et capture d'essaims donc pas d'achat de Reines productrices améliorée

Nous fabriquons certaines de nos ruches (voir photos de notre table de fabrication et nos ruches)

Une grande ruche de 26 cadres a été conçu.

vente de miel en pots  (bréches sur commande)

 

 

 

L’essaimage : le meilleur traitement!

 

Tout ces éléments importent, mais par dessus tous les autres, si vous souhaitez ne pas avoir à traiter vos colonies : Laissez les essaimer de manière naturelle. C’est une des meilleures défenses que l’abeille puisse utiliser contre Varroa. En effet, lorsque l’essaim quitte la ruche, il se passera trois semaines sans couvain au sein de la colonie. Le Varroa se reproduisant dans le couvain, c’est un coup d’arrêt naturel à son développement.

Ce vide sanitaire créé de manière naturelle est une des meilleures armes de la colonie contre Varroa. Hors, c’est également la bête noire de l’apiculteur. Un essaimage signifie la perte d’une reine, d’une récolte, d’un essaim. On favorisera le couvain pour produire, ce qui induit mécaniquement le développement du parasite qui s’en sert pour se reproduire. C’est pour cette raison que le traitement est rendu obligatoire pour l’apiculteur qui veut retirer une récolte de ses colonies.

Il semble donc que le seul moyen de donner ses chances à une colonie de s’en sortir sans traitements soit de la laisser à l’état le plus naturel possible. Il n’y a pas vraiment d’entre deux possible, car une exploitation même minimale de la colonie l’affaiblirait et la rendrait sensible à Varroa.

Selon moi, il faut choisir son apiculture. Soit une apiculture d’observateur, sans intervention sur la colonie ; soit une apiculture d’exploitant, interventionniste, qui permet une récolte, mais qui impliquera un traitement contre Varroa.

Nos différents miels: